Presse

Ce que la presse a dit de la dernière pièce de Georges de Cagliari, ou de la dernière mise en scène de Sara Veyron :

 

Une pièce visionnaire sur la fin du monde« Sur les ruines d’un monde, une nouvelle société, violente, dictatoriale, et esclavagiste s’instaure. Les conditions de vie sont insoutenables et sont à l’image du sort de la planète. Dans ce portrait d’une humanité qui glisse vers sa perte, une lueur d’espoir se fera pourtant une place »

journal quotidien de la presse écrite française régionale Amandine FARAUD,

 

site internet du quotidien d'information générale gratuit

« Une écriture subtile et une interprétation sensible pour cette pièce aux accents orwelliens sur les désastres du réchauffement climatique cause de l’avènement d’une société esclavagiste. Derrière l’effroyable vision du futur, une touche d’optimisme transparaît. L’humanité peut être encore sauvée. »

 

radio publique

« Cinq comédiens interprètent sobrementun drame à la fois humain et planétaire… »

émission : Sortir, écouter, voir

 

Radio France internationale« Le travail de mise en scène sert à merveille l’écriture de Georges de Cagliari …»

rubrique culture

 

radio

« (…) Après les scientifiques, ce sont les artistes qui nous mettent en gardent contre les réchauffements de la planète et ses conséquences, (…).FIN DE TERRE est une pièce écologiste admirablement mise en scène par Sara Veyron (…). C’est une très belle pièce, à aller voir absolument, la troupe du Théâtre du Chaos est extraordinaire (…). »

Stéphanie THOMAS

 

« Deux femmes vivent cloîtrées pour se protéger des bouleversements climatiques… Ce thème est peu présent dans les spectacles. L’humanité qui se dégage des personnages sur la scène nous interpelle et nous rassure. Mais il est trop tard, la terre est ravagée. Les intérêts personnels et l’envie du pouvoir sont dénoncés à travers la force des individus. Tout au long du spectacle, on est suspendu au fil de l’intrigue et on est pris par les vies tumultueuses qui sont dévoilées sur scène. Le cataclysme agite autant l’intérieur des personnages que le monde extérieur. »

Florence BAUCHE

 

« Cette pièce remarquable de Georges de Cagliari sur les bouleversements climatiques est un pari osé, celui de donner l’alerte à travers la fiction, d’informer sans rien sacrifier de la dramaturgie. Suspense, tension, émotions, le cri d’alarme est intimement noué à une intrigue bien travaillée (…) Savoureux. »

Caroline ROCHET, 

 

« En abordant un tel sujet, l’auteur courait le risque d’écrire une pièce dont le seul intérêt serait son aspect « écologique » il n’en est rien. ¨Parfaitement mis en scène par Sara Veyron, le texte s’aère à la fois sobre et juste, permettant à une troupe de comédiens exceptionnels (notamment Jean de Coninck, superbe sur scène) d’exprimer tout leur talent. »

Erwan BENEZET, 

 

« Georges Orwell… l’auteur de 1984 se retrouverait dans cette pièce. C’est une première d’aborder ce thème au théâtre. Le jeu des acteurs, la mise en scène et le ton de la pièce sonnent juste. Nous sommes au coeur de l’ère moderno-

préhistorique. »

Le Monde diplomatique, mensuel français d’information et d’opinion.

Philippe BOVET,

 

 

« Hyperréaliste et émouvant … »

Laure NOUALHAT,

 

 

« Une impressionnante pièce de théâtre… scientifiquement très crédible… vous adorerez FIN DE TERRE »

La Chaine Info

Jean Louis CAFFIER,

 

« Une pièce au langage poétique… De quoi s’offrir quelques frissons et nous inspirer quelques réflexions… »

le figaro magazine

Yolaine DE LA BIGNE,

 

 

« Fin de Terre »

Ouverture : une salle de bistrot éclairée de telle façon qu’il s’en dégage une impression de sécurité et d’intimité. Deux personnages. Deux femmes. L’une d’un certain âge assise au bureau. L’autre, jeune, occupée derrière le comptoir. Première répliques… On ne comprend pas très bien de quoi elles parlent. Ce que l’on saisit vite par contre, c’est que l’histoire ne va pas nous tomber toute cuite dans le bec. Il va donc falloir être attentif et patient. Pourtant, si l’on ne connaît pas les secrets, on devine leur présences. Si l’on ne connaît pas l’intrigue, on soupçonne le drame. On le sent. Et au fur et à mesure des conversations, des indices apparaissent. Peu à peu, les personnages se dessinent, et le drame prend corps. Fin de terre fonctionne donc comme un puzzle. On découvre, on déduit, on assemble.L’oeuvre pourrait être résumée par cette réplique : « Si l’on n’accepte pas la part d’opacité chez l’autre, on n’apprend rien sur l’humanité. en général et sur soi-même en particulier». Après l’obscurité si l’on accepte de se laisser porter, on vit l’histoire de drames personnels sur fond de drame universel. Intrigant, riche d’enseignements et peut-être bien même prophétique.

Fanny DELNIEPPE,

 

Nos coups de coeur

Dans la « jungle » du « off », l’écriture contemporaine de qualité parvient encore à se frayer un chemin.« Fin de te

rre » de Georges de Cagliari trouve ainsi un remarquable éclairage dans la mise en scène de Sara Veyron, qui en dégage la force avec une intensité progressive.

 

Bruno BOUVET,

 

« L’auteur, Georges de Cagliari, et le metteur en scène, Sara Veyron, ont en effet décidé de frapper fort, très fort, pour faire passer le message d’une apocalypse annoncée si aujourd’hui, maintenant rien ne change…»

M. VERDIER,

 

 

« Fin de terre » est l’oeuvre d’un visionnaire.Un cri d’alarme devant la menace de l’irrémédiable saccage de la planète. L’auteur y fait preuve d’un art consommé du suspense. Personnages et situations, d’abord énigmatiques, nous révèlent peu à peu des violences inattendues.Et, jusqu’à la petite lueur d’espoir finale, le spectateur est tenu en haleine.

André DEGAINE
Historien du théâtre

 

 

« …Cette pièce traitant de la détérioration du climat est l’oeuvre d’un visionnaire… c’est une pièce humaniste à découvrir »

Françoise PASTERGUE,

 

« Le propos écologique n’en est pas pour autant dépourvu de qualités dramatiques et littéraires. La langue y est maniée avec concision et la mise en scène ajoute au propos une dimension et une intensité prodigieuse »

Etudiants de l’Institut Supérieur d’Art Dramatique de Tunis

 

 

Le dauphiné libéré
Une pièce visionnaire sur la fin du monde

« Sur les ruines d’un monde, une nouvelle société, violente, dictatoriale, et esclavagiste s’instaure. Les conditions de vie sont insoutenables et sont à l’image du sort de la planète. Dans ce portrait d’une humanité qui glisse vers sa perte, une lueur d’espoir se fera pourtant une place »

Amandine FARAUD,

 

« Deux femmes vivent cloîtrées pour se protéger des bouleversements climatiques… Ce thème est peu présent dans les spectacles. L’humanité qui se dégage des personnages sur la scène nous interpelle et nous rassure. Mais il est trop tard, la terre est ravagée. Les intérêts personnels et l’envie du pouvoir sont dénoncés à travers la force des individus. Tout au long du spectacle, on est suspendu au fil de l’intrigue et on est pris par les vies tumultueuses qui sont dévoilées sur scène. Le cataclysme agite autant l’intérieur des personnages que le monde extérieur »

Florence BAUCHE

 

ALLIANCE

« Théâtre et actualité se rejoignent dans cette pièce pour provoquer une prise de conscience sur un des plus grand danger de notre époque. Cette pièce interroge tous les publics , y compris les plus jeunes dès dix ans sur le rapport qu’entretient l’homme à la terre »

 

et E-gazette

 

 

Première pièce sur les changements climatiques, elle bouleverse Avignon.« Qualifiée d’idée du siècle par l’EGazette du spectacle « Fin de terre » est une pièce remarquable de Georges de Cagliari sur la détérioration du climat et ses conséquences sur la vie des hommes. Voilà une oeuvre qui, non seulement est nécessaire pour tous, mais qui s’appuie sur une écriture de qualité et une intrigue prenante. A voir absolument … »« L ‘écriture de cette fable est toujours subtile, jamais moralisatrice. Où l’on aurait pu tomber dans la lourdeur du militantisme ne se dégage que subtilité et sensibilité, avec une réelle intrigue et des personnages profonds. Un vrai diamant dans le « Off », sans doute promis à un bel avenir.

Juliette ROULEAUX